le SNESUP à Tours

Rassembler et agir

 Les luttes en cours 
Jeudi 5 décembre 2024 : GREVE et manifestations
L’objectif est de faire renoncer le ministre :
- aux 3 jours de carence dans la fonction publique, 
- à la diminution de l’indemnisation des jours d’arrêt maladie, 
- au non-versement de la GIPA. 
Les revendications unitaires porteront aussi sur : 
- des moyens budgétaires à la hauteur des missions des services 
et des politiques publiques, 
- des créations d'emplois partout où c'est nécessaire et l’accès à 
l’emploi titulaire des agents contractuels, 
- l'augmentation de la valeur du point d'indice au titre de l'année 
2024 et des années suivantes et des mesures salariales générales, 
- la refonte des grilles indiciaires, 
- l'égalité salariale et professionnelle entre les femmes et les 
hommes, 
- l'abandon des orientations du projet de loi « Guérini».

Mardi 1er Octobre 2024
Grève et manifestation pour l'abrogation de la réforme des retraites, pour l'emploi, les salaires

Vendredi 13 Octobre 2023
grève et manifestations pour les salaires  l'emploi, les retraites, l'égalité homme/femme, les conditions de travail
A Tours RV 10h place de la Liberté

 RETRAITES
64 ans c'est NON !

mercredi 31 Mai 12h-14h
Esplanade passerelle Tanneurs 
AG et Pique-Nique pour organiser et amplifier la mobilisation à l'université.

jeudi 6 juin
Manifestation unitaire
Départ 10h Place de la Liberté


Un 1er Mai unitaire et populaire pour le retrait !
Les propos tenus par le président de la République le 17 avril, après sa promulgation précipitée de la loi,  démontrent qu’il n’a toujours pas compris la colère qui s’exprime dans le pays et s’obstine. Il doit respecter la démocratie sociale et le rejet très majoritaire de cette réforme par la population.
En s'entêtant, l’exécutif ne prend pas conscience de la responsabilité qu’il porte en s’enfermant dans le déni et il est le seul responsable d’une situation explosive sur l’ensemble du pays.


Après 7 mars, la France à l'arrêt...continuons!!
participez massivement à la manifestation du samedi 11 mars à 14h00 place Jean Jaurès et à la grève et manifestation du mercredi 15 mars place Anatole France à 10h

AG Education mercredi 15 mars à 14h à la faculté des Tanneurs

Samedi 11 février, la rue a de nouveau donné tort au Gouvernement : non seulement la mobilisation ne faiblit pas, mais tous les sondages d’opinion continuent de montrer le rejet massif du projet de réforme et le soutien de l’opinion publique à cette mobilisation de grande ampleur, l’une des plus fortes de ces dernières années. À Tours, nous étions près de 14 000 à battre le pavé. 
Pendant ce temps, tous les chiffres, tous les 
arguments du Gouvernement pour justifier de la 
réforme sont démontés les uns après les autres : 
non, la réforme ne profitera pas aux femmes ; non, tou·tes les retraité.es ne toucheront pas une 
retraite minimale de 1200 € brut ; non, le report de l’âge légal à 64 ans n’est pas la seule solution pour répondre aux enjeux de l’équilibre de notre 
système des retraites. 
Prochain rendez-vous dans la rue 
le jeudi 16 février ! 
RDV 14h place Jean Jaurès

Ensemble, préparons la journée de mobilisation du 31 janvier !
L’intersyndicale de l’université CFDT, CGT, FO, FSU et UNSA propose un temps d’échange sur la mobilisation et la journée de grève interprofessionnelle le mardi 31 janvier, avec nos analyses, un débat sur les dangers de la réforme, et l’organisation d’une caisse de
grève solidaire.
La réunion aura lieu le jeudi 26 janvier prochain en salle B101 aux 2-Lions (1er étage du bâtiment B) de 12h30 à 14h. Elle est ouverte à toutes et tous.

Jeudi 19 Janvier 2023: un succès!!
Une très forte opposition à la réforme des retraites dans les rues à Tours
Nous étions largement plus de 15000 dont beaucoup de collègues de l'université de toutes les composantes et services dans le cortège parti à 10h de la place de la Liberté. Signe qui ne trompe pas, le passage des 2 ponts (pont Wilson et pont Napoléon) par une foule dense s'écoulant au fil de slogans hostiles au passage de 62 à 64 ans de l'ouverture des droits à la retraite. Impossible de dénombrer exactement (plusieurs centaines) le nombre de personnels et d'étudiants de l'université répartis dans au moins 3 cortèges disséminés dans la manifestation : la FSU travaillera encore à renforcer l'unité indispensable pour gagner dans cette bataille et à tout faire pour la rendre visible dans les prochains rendez-vous de grèves et manifestations. RV le mardi 31 janvier!
NON au passage à 64 ans comme âge de départ à la retraite!
À Tours, : départ à 10h place de la Liberté À l’université, à l’appel de l’intersyndicale CFDT-CGT-FAGE-FO-FSU-SET-UNSA : AG professionnels & étudiant·e·s 8h45 devant Thélème, puis départ groupé pour rejoindre le cortège interprofessionnel


Jeudi 29 septembre 2022
Sous la banderole de l'université, 
Pour les salaires, les pensions, l'emploi public et la revalorisation des carrières, les bourses d'étude : en grève ce jeudi et dans la manifestation à 10h au départ de la Place de la Liberté à Tours.
Appel national CGT, FSU (SNESUP, SNCS, SNASUB, SNEP,...), Solidaires, UNEF, CJC, SNPTES, Sup'Recherche UNSA
Jeudi 27 janvier 2022
journée de grève et d’action pour nos salaires. Personne ne peut ignorer le contexte social et économique, la hausse des prix pour les produits de
première nécessité, de l’énergie comme de l’alimentation et finalement du coût de la vie pour toutes et tous, jeunes actifs, demandeurs d’emploi et retraités –
tandis que les salaires, les pensions et les aides et allocations stagnent !

Les organisations CGT, FO, FSU, Solidaires et CFDT appellent à une journée de mobilisation
interprofessionnelle sur les salaires et l’emploi :
pour l’augmentation du point d’indice et du SMIC
– contre la réforme de l’assurance chômage qui va enfermer de nombreux salariés dans des emplois à faible salaire, à temps partiel ou en CDD
– pour l’augmentation des pensions de retraite
– pour soutenir la jeunesse, confrontée à une grande
précarité de vie et de travail, à la pauvreté accentuée par la crise sanitaire, économique et sociale
– contre les réformes libérales de l’éducation et de la formation décidées par le gouvernement : Parcoursup et TrouverMonMaster, réforme du lycée et du baccalauréat, LPR (Loi de Programmation de la
Recherche)...

Manifestation à Tours : RDV à 10h Place la
Liberté




Grève et Manifestation
mardi 5 octobre :
Retrouvons-nous hall Thélème dès 9h pour dialoguer, puis rejoignons ensemble le cortège départemental qui partira à 10h de la place de la Liberté.

Avec les salariés du secteur privé et des fonctions publiques, avec les organisations d’étudiants et lycéens, aux côtés de nos collègues de l’ESR, BIATSS comme enseignants-chercheurs, contractuels comme titulaires, le mardi 5 octobre, mobilisons-nous par la grève et les manifestations.

Dans le cadre de cette journée interprofessionnelle, défendons le service public, les salaires, les emplois, les droits des salarié·es et la protection sociale. Dans nos métiers c’est être en grève notamment :

  • contre le démantèlement du service public de l’ESR ;
  • pour un plan d’urgence dans l’ESR avec une programmation budgétaire permettant le recrutement massif de titulaires et accueil de tous les étudiants dans des conditions normales d'étude,
  • pour une réforme des bourses ambitieuse permettant l'autonomie des étudiant·e.s ;
  •  pour la revalorisation indiciaire des salaires et des carrières des personnels et contre  l'individualisation des rémunérations et de la mise en concurrence des personnels ;
  • pour la titularisation de toutes et tous les contractuel-le-s sur missions pérennes ;
  • pour la défense des statuts et l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ; 
  • pour de meilleures conditions de travail et d’études,
  • pour une augmentation significative du financement récurrent des activités de recherche
appel unitaire local: SNASUB-FSU, SNESUP-FSU, SNCS-FSU, FO ESR, CGT Sup Tours

 


2019-2021 :
Analyse de la logique des rapports préparatoires à la Loi de Programmation Pluriannuelle de la Recherche (LPPR) : voir Lettre d'Alcofribas n°141
Succès des États Généraux de l’université en mars 2020
Comme le 31 janvier dernier, plusieurs centaines de collègues et d’étudiants ont participé à la journée du 5 mars qui s’inscrivait dans l’appel national « l’université s’arrête », lequel avait conduit le CA de l’université à adopter une forme de banalisation des activités.
L’état des lieux du sous-encadrement et des formes multiples de la précarité s’est poursuivi, mais des analyses plus précises pour repérer les dysfonctionnements spécifiques à l’université de Tours (contrats sur 10 mois, procédures envahissantes et chronophages, …) et pour proposer des évolutions locales ont été largement partagées, par exemple :
• Banalisation de deux demi-journées par an pour mettre en commun les propositions des personnels et étudiants
• Ouverture au public des conseils de l'université (sauf conseils restreints)
• Bilan et évolution des dispositifs Mobil et CERCIP
• Facilitation de l'usage des transports collectifs et du vélo
• Renforcement des moyens du SSU (personnels et budget), développement d'antennes de proximité (Tanneurs, Grandmont)



Le 5 mars l'université et la recherche s'arrêtent

Nouveau paragraphe

Dans l'université :
(voir aussi les Lettres d'Alcofribas)


Repyramidage » MCF / PR : les propositions du Snesup à Tours pour une mise en application sereine et apaisée
L’objectif pour nous est d’avancer dans la résorption des retards de carrière dont sont victimes à Tours plus d’une centaine de collègues, en évitant les mécanismes insidieux promus par le Ministère qui relèvent de « l’effet d’aubaine ».
Nos propositions se déclinent sur les 3 temps de la procédure : choix des sections du CNU concernées par les 15 premiers repyramidages, instruction des demandes, auditions et classement.
1) Dans le choix des sections concernées par le repyramidage, ne pas se limiter à la liste des sections indiquées par le Ministère pour notre établissement, liée au seul différentiel local/national dans le ratio PR/MCF, mais tenir compte des situations locales de blocage des carrières, en s'appuyant sur des données qualitatives (ancienneté de l'HDR, qualification(s) antérieure(s) par le CNU aux fonctions de PR, classements dans des concours de PR, encadrement de thèses…).
2) S'assurer de la mise en place d'une procédure qui soit au plus près des procédures nationales de recrutement, afin de garantir les équilibres entre évaluation interne et externe, et éviter les conflits d'intérêt. Cela signifie s’assurer :
– que dans le choix des deux rapporteur.e.s de chaque dossier, un.e soit extérieur.e à l'établissement ;
– que dans le choix des quatre membres du comité d'audition, deux soient des membres extérieurs à l'établissement ;
– que les CSDP des sections concernées par la procédure de repyramidage soient sollicitées pour le choix des membres des comités d'audition.
3) Afin d'assurer la collégialité de la procédure et éviter l'hyper-présidentialisation de la gestion des carrières, il convient que le Conseil Académique soit partie prenante au moment de l'établissement de la liste des candidat.es, de la composition de la commission d'audition et de la validation de la liste finale des candidat.es dont la nomination est proposée. En l'état actuel, le décret prévoit que seul le chef d'établissement ou son représentant décide de la liste des candidat.es à auditionner et valide la liste des promu.es. Il convient également :
– d’établir une liste complémentaire qui garantirait de pourvoir tous les postes disponibles, en cas de mouvement des personnels ou d'affectation des candidat.es sur d'autres postes ;


– qu'il y ait un effet mémoire des sections concernées par le dispositif de repyramidage, afin de s'assurer qu'à l'issue de cette procédure pluriannuelle, le maximum de sections au sein de l'université ait pu en bénéficier.
Parallèlement, le Snesup demande à ce que le Ministère s'engage à compenser le coût du “glissement vieillissement technicité” (GVT) que va engendrer le repyramidage. Il se réjouit que ce dispositif puisse permettre à des collègues bloqué.es dans leur carrière de bénéficier d'un reclassement dans le corps des professeur.es. Mais cela ne règle en rien la question du sous-encadrement et du manque de postes à l'université, c'est pourquoi nous rappelons la nécessité que ce dispositif soit accompagné de la création des postes demandés.

Crise du coronavirus (suite) rentrée 2021
Des moyens pédagogiques distants…
Avant la crise Covid, l’université de Tours fonctionnait, pour les cours mutualisés avec des établissements voisins, par le système RENAvisio, réseau public d’interconnexion entre universités (pionnier en matière de visioconférence !). Avec la pandémie chaque université a acheté un abonnement pour couvrir tous les besoins individuels et collectifs (cours et réunions à distance, personnels administratifs, enseignants et étudiants…) : qui à Microsoft Teams, qui à Webex, qui à Zoom… Résultat en cette rentrée : des problèmes entre les universités partenaires pour les préparations mutualisées à l’agrégation. Une affreuse pagaille, en voie de résorption certes, mais qui a les deux premières semaines empêché la tenue de séances entières ou en a retardé de plus d’une heure… Cela montre a contrario l’efficacité d’un outil véritablement public et commun.
__________________________________

Après  la  "continuité pédagogique", puis l'enseignement "hybride"  et les examens distanciels, voici   l"hybride synchrone" ou l"hybride asynchrone"!...mais toujours sans recrutement de personnels (enseignants- et non-enseignants) pour faire face à une situation qui aiguise les tensions et renforce les inégalités.

Analyse des mesures de confinement généralisé pour l’enseignement supérieur dans notre université.
(voir nos analyses et propositions dans les lettres d'Alcofribas )

Nouveau paragraphe

Élections et plateformes
OCTOBRE 2024
 Les résultats pour L’Université Ensemble sont en demiteinte au Conseil d’Administration. La logique du scrutin, qui donne une prime à la liste arrivée en tête, rendait très périlleuse la division des forces dans le collège B au CA. 
La FSU l’avait signalé très tôt, et avait appuyé le souhait du collectif L’Université Ensemble d’une liste commune avec le collectif Autrement dans ce secteur de vote. Nous ne pouvons que regretter une nouvelle fois que cette solution n’ait pas été adoptée. 
La dynamique de campagne a sans doute aussi pâti de 
ce choix. Nombreuses et nombreux sont les collègues qui se sont interrogé·es sur la distinction entre les deux 
collectifs, tantôt faisant cause commune (collège A du CA par exemple), tantôt mis en concurrence pour défendre pourtant un même bilan de l’équipe présidentielle à laquelle ils participaient. Au final nous avons vécu les inconvénients d’une campagne qui tentait d’être unitaire pour porter des candidatures communes à la présidence, avec les lourdeurs et les difficultés de communication que cela entraîne, sans pour autant bénéficier de la force d’un collectif unifié.
Le collectif LUE dispose toutefois de 
     5 sièges au CA
15 sièges au Conseil Académique
  
parmi lesquels 5 syndiqués du SNESUP



SEPTEMBRE-OCTOBRE 2024
Election des Conseils centraux de l'université:
La rentrée universitaire est marquée par la campagne 
pour les élections aux conseils centraux de l'université, 
fixées au 16 et 17 octobre prochain. La 
campagne est  courte : guère plus d'un mois à partir de la rentrée. 
Pour le SNESUP et plus largement la FSU, 
l'objectif est clair : poursuivre et amplifier l'expérience 
menée depuis quatre années à Tours d'une équipe 
présidentielle qui défend une politique ambitieuse pour 
l'université, ses personnels et les étudiants dans le cadre d'un service public fort.
Le SNESUP et le SNASUB se réjouissent de la 
candidature d'Emmanuelle Huver pour la présidence 
de l’université et de Florent Malrieu pour celle du 
conseil académique : avec cette élection pour la première 
fois en plus de 50 ans d'existence, l'université de 
Tours sera, nous l'espérons, présidée par une femme. Le « ticket » (1 
femme, 1 homme, 1 spécialiste des humanités, 1 
spécialiste des sciences dures) incarne les choix 
ambitieux qui sont ceux portés par une « université en 
mouvement », programme dans lequel le SNESUP et le 
SNASUB assumeront toute leur part pour défendre le 
service public de l’enseignement supérieur et de la 
recherche. Bref, une véritable ambition pour 
l'université de Tours pour soutenir des études ouvertes au 
plus grand nombre et une recherche forte de sa diversité.
La candidature double d’Emmanuelle Huver et Florent 
Malrieu est portée par les collectifs L’Université Ensemble
et Autrement.
 Depuis plusieurs mois, le collectif l’Université ensemble et la FSU travaillent à une plateforme commune qui s’appuie sur l’expérience 
menée depuis quatre ans. Au cours de la mandature 
qui s'achève, l'Université ensemble a travaillé avec 
Autrement. L'équipe présidentielle actuelle comprend 
un nombre important de membres issus des deux 
collectifs, qui ont œuvré sans distinction d'origine et 
indépendamment de leur appartenance syndicale (ou 
non). Les votes aux conseils centraux tout au long des 
quatre années de la mandature ont également 
témoigné de cette convergence.
Riche de cette expérience, Le SNESUP a pris acte 
de la décision du collectif Autrement d'opter pour des 
listes distinctes pour la prochaine campagne, tout en 
acceptant le principe d'une plateforme 
programmatique commune et un projet de 
gouvernance partagé. Ces questions de listes ne sont 
pas anecdotiques : le mode de scrutin donne une 
prime en sièges à la liste arrivée en tête. En clair, si 
celles et ceux qui se revendiquent des valeurs et du 
bilan portés par l'actuelle équipe présidentielle se 
divisent, ils font le jeu de liste portée par Philippe 
Roingeard, dont la victoire, pourrait signifier le retour 
à un mode de fonctionnement ancien et une 
soumission définitive à l'ordre universitaire que les 
gouvernements successifs ont cherché à nous 
imposer. Les élections législatives viennent de 
prouver une nouvelle fois que les forces de progrès 
l'emportent quand elles proposent des choix clairs et qu'elle savent s'unir!


Avril 2023 : BEATRIS BARREIRA 
REMPORTE L' ÉLECTION partielle  au CA 
(scrutin partiel au Conseil d'Administration des 12 et 13 avril) 
 Il y avait 3 candidatures au choix des électrices et 
électeurs dans le collège des "autres enseignant·es-chercheur·euses,  enseignant·es, chercheur·euses et assimilé·es". Preuve d'une vitalité démocratique retrouvée, le taux de participation est de presque 37%. 
En recueillant presque 49% des suffrages exprimés,  Beatris Barreira l'emporte.
Notre section syndicale SNESUP félicite Beatris Barreira 
pour cette élection qui confirme, après les élections universitaires d'automne 2020 et les scrutins partiels à la Commission Recherche et à la CFVU en décembre dernier, l'importance du collectif L'Université 
Ensemble et ses élu·es dans la vie de l'établissement, ainsi que la confiance que vous leur accordez pour travailler au service de tout·es les usager·es et personnels de l'université. 
Elections Professionnelles dans la Fonction Publique
 décembre 2022
 1er au 8 décembre par  votes électroniques
Téléchargez ci-dessous !
(exCT-CHSCT)

Dans les instances nationales qui gèrent les carrières, selon les différents corps de fonctionnaires, comme dans la nouvelle instance de l'université de Tours (le CAS qui remplace le Comité Technique et le Comité Hygiène Sécurité et Conditions de Travail)...VOTEZ pour les plateformes et les candidats présentés par les syndicats de la FSU (SNESUP-SNASUB-SNEP-SNICS-SNCS).


le SNESUP et le collectif l'université ensemble appellent à voter pour Pascale Gillot et François Brunet.
1) Résultats des élections
 Jeudi 25 novembre 2021 : Scrutins partiels pour la Commission Recherche (HDR secteur ASH-L&L) et la Commission Formation et Vie Universitaire( PU secteur Droit-Gestion) 
Election de Pascale Gillot (SNESUP), François Brunet  manque de peu le siège.
5 octobre 2021
Election de Sylvie Humbert-Mougin à la présidence du Conseil Académique de l'université
Un nouveau succès emporté avec l'élection de notre camarade.

Avec les lois LRU (2007) et Fioraso (2013), les universités ont été non seulement de plus en plus malmenées en terme de budgets, de moyens pour assurer leurs missions fondamentales de recherche et de formation mais elles ont été entraînées dans une spirale de management présidentiel à l'opposé de la collégialité qui devrait en être le principe.

Dans notre université, le SNESUP et ses élu.e.s dans les conseils ont constamment dénoncé ces dérives nationales et leur déclinaison locale. Depuis la création du Conseil Académique (2013), conseil qui a en particulier en charge la plupart des aspects individuels de la carrière des enseignants-chercheurs, le SNESUP est intervenu pour séparer les fonctions de président de l'université de celles de président.e du Conseil Académique. Cet objectif figurait dans tous les programmes électoraux auxquels le SNESUP a contribué. Il figurait en bonne place dans le programme de « L'Université Ensemble".

Nous nous sommes réjouis du vote du Conseil d'Administration en ce sens après l'élection d'Arnaud Giacometti et d'une nouvelle équipe exécutive  à la direction de l'université. Nous nous réjouissons aujourd'hui  de l'élection de Sylvie Humbert-Mougin, Professeur de Littérature Comparée, à cette  présidence. Sylvie, plusieurs fois élue sur des listes syndicales à l'initiative du SNESUP  tant au CNU qu'au Conseil Scientifique de notre université, contribuera, nous n'en doutons pas, avec les élu.e.s du Conseil Académique à renforcer le pluralisme et la collégialité dans notre établissement.
30 novembre/3 décembre 2020
Election d'Arnaud Giacometti et de 11 vice- présidents issus des collectifs "l'université ensemble" et "Autrement" avec le soutien du SNESUP des syndicats de la FSU+CGT, UNSA, SGEN

Rappel : élection des conseils centraux de l'université du  15 octobre  2020
L’université ENSEMBLE (LUE)
dans tous les conseils :
Conseil d'Administration
Commission Recherche
CFVU:
Un immense succès et  un espoir  qui se lève pour transformer le fonctionnement de l'université.
9 élus LUE au CA et seulement 8 aux listes de P. Vendrix, président sortant!


voir la plateforme et les 25 listes par conseils, secteurs et catégories déposées par le Collectif



Tentative de coup de force

Les élections universitaires à Tours devaient se tenir en mars et avril dernier.

En mars 2020 les étudiants ont voté.

Le scrutin du 2 avril pour les personnels n'a pas eu lieu (fermeture et confinement) et la commission électorale a convenu d'un report en octobre (le 14) acté par un nouvel arrêté du président de l'université il y a une quinzaine de jours.

Revirement lundi, le président P. Vendrix, annonce lors du Conseil d’Administration  de ce  25 mai qu'il envisage un scrutin pour les personnels début juillet...date rendue possible selon lui puisque le second tour des Municipales se tiendrait le 28 juin et rendue nécessaire, selon lui,  pour ne pas "refaire" les élections étudiantes (Cet aspect n'apparaît dans aucun texte réglementaire!). Jean Fabbri a contesté immédiatement lors du  CA cette intention et indiqué que l'université et ses personnels justifiaient  une réelle  campagne électorale  avec possibilité de rencontrer les collègues.... et que la période à venir était déjà lourdement occupée par les jurys en visio, les secondes sessions  à distance, l’étude des dossiers de master,  la préparation de la rentrée dans des conditions encore incertaines...

Cette affaire fait heureusement monter une légitime contestation.  Le collectif "l'université ensemble" auquel notre syndicat participe, s'active de son côté à fédérer les protestations y compris par des contacts, voire des initiatives communes avec les listes "autrement" initiées par le SGEN. Des démarches auprès du rectorat, du ministère pour dénoncer ce coup de force contre la démocratie. Comme l'illustre l'énorme budget de "communication" qu'il s'est fait voter par le CA (voir la lettre d'Alcofribas n°162), le président cherche à passer en force, avec le moins de débats possible en apparaissant comme le seul capable de "piloter" l'université pendant la crise, afin de profiter d'une nouvelle légitimité pour modifier en profondeur l'université de Tours, ses missions, son périmètre scientifique et son fonctionnement (PaRM ++, ...).

P. Vendrix  fait tout pour étouffer les critiques à l'égard de ses décisions (voir la rétention de plus en plus longue dont souffre la diffusion La lettre d'Alcofribas, près de 48h pour la dernière)... Il mène campagne. Ainsi, pour la seconde fois en 15 jours, et seulement la seconde fois depuis son élection il y a plus de 4 ans, nous avons eu droit à un compte rendu auto complaisant et très incomplet du CA.



Report des élections prévues le 2 avril

"L’université ensemble"
L’émergence d’un nouveau collectif de collègues rassemblé.e.s sous ce nom pour défendre, lors des prochaines élections universitaires du 2 avril, les valeurs du service public pour ses missions et ses personnels est une bonne nouvelle. Le SNESUP y a contribué, il y participe par quelques un.e .s de ses adhérent.e.s et fera tout pour la réussite de cette démarche originale inédite à Tours.

Le travail des élu.e.s de 2016, syndiqué.e.s ou non sous l’étiquette « Ensemble à Tours pour une université pluridisciplinaire et collégiale » n’est pas pour autant remis en cause : il a prouvé la nécessité d’une présence pluraliste beaucoup plus importante dans les conseils centraux.

Enjeux et site de la campagne de "l'université ensemble"
2) Engagements des élu.e.s

a. Plateforme nationale SNESUP pour le Comité Technique  Universitaire 6 décembre 2018. Jean Fabbri un des 4 élu.e.s nationaux
Télécharger la plateforme
b. Plateforme locale FSU pour le Comité Technique de l'université
Télécharger la plateforme

 Pour défendre le service public, les conditions de travail, les salaires, les retraites...

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